Vent fou.et enthousiaste de la jeunesse
Emportant dans ton souffle ma frêle raison
Reviendras tu, en pèlerinage où fut ta maison ?
Ò voile douloureux de l'infinie tristesse
Nulle à ce.jour n'a jamais pris ta place
Ignorante qu'en elle son cœur éclatait
Croyant,inconsciente que "le passé tout efface"!
A toi que j'appellerai dans mon dernier souffle exhalę