Chemin tracé en lacets délassés, corset d'une époque aux sentiments délaissés.
Rencontre heureuse sous les traits du jeune homme...
Caste malheureuse dans l'ombre du père.
Sa condition abandonne l'espoir du lendemain.
Désormais l'avenir se traduit en éternité.
(illustration: "after midnight" de Jack Vettriano) (musique: "Addio del passato" extrait de l'opéra "la Traviata" de Verdi)
jiminy
Membre émérite
3 février 2016 à 05:57
Ciao Pegasino,
Quand les Slаvеs s'attaquent au répertoire italien. Superbe Anna d'il y a déjà 11 ans...
Intéressant de lui comparer une Caballé jeune, merveilleusement soutenue par Prètre, au très beau climat. Plus de pathos, des demi-teintes où on la devine atteinte et sans force, des notes filées, un timbre plus verdien. mmm...
pegase49
Légende urbaine
3 février 2016 à 07:49
Bonjour Gérard,
Dans l'interprétation de "la Caballé", notre cantatrice "habite" le personnage.
Elle chante pas, elle vit! (si j'ose dire)
Rien ne vient gêner l'interprétation, c'est fluide et naturel...
Un véritable рlаіsіг pour les oreilles!
Merci Gérard pour tes comparaisons toujours appréciées.
Sébastien
jiminy
Membre émérite
3 février 2016 à 11:50
En réponse au message de pegase49 :
Elle chante pas, elle vit! (si j'ose dire)
Rien ne vient gêner l'interprétation, c'est fluide et naturel...
Un véritable рlаіsіг pour les oreilles!
Sébastien
Je suis heureuxx, Séb, que tu fasses la différence, rien qu'avec tes oreilles et ta sensibilité.
Oui, la version Caballé, aux lèvres desquelles on reste suspendue, est plus habitée, soutenue par un art du chant et des moyens vocaux somptueux !
Bravissimo Pegasino.
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