AMOUR - Littérature & poésie

AMOUR

sonnet

Quel est ce mal étrange empourprant mes deux joues?

Qui?... m'arrache à la Paix?... M'interpelle au combat?...

Mais pourquoi de l'entendre ou le voir mon pouls bat?

Curieux phénomène ! Avec mon coeur tu joues...,

Sur ton joli minois, tel l'embrun sur la proue,

Le bonheur mêle aux pleurs mes Ьаіsегs... Quels ébats!...

Car toujours joie et doute enfièvrent nos ébats.

Par quelle émotion ma pauvre voix s'enroue?...

On voudrait tout donner, hélas jamais assez!

On souhaite séduire en craignant de lasser...

Comment bien satisfaire un sentiment d'altruisme?

Subir tant de tourments et qu'attendre en retour?

Rien, sinon de goûter cet acte d'héroïsme:

En l'offrant à l'aimé lui donner son AMOUR!

En réponse au message de yoomy-33 :

Tu le trouves un peu tarte ce sonner?

Non, juste un peu pizza x

En réponse au message de yoomy-33 :

Non, juste un peu pizza x

C'est vrai que dans l'union l'асtіf pizza dans le раssіf!

J'ai un poème sur mon disque dur, je le partagerais bien mais il est plus lubrifiant que pizza

En réponse au message de chrisred65 :

J'ai un poème sur mon disque dur, je le partagerais bien mais il est plus lubrifiant que pizza

je serais heureux de pouvoir le lire si tu peux le glisser, sans le lubrifier, au lieu de la pizza! lol

Dans l’intimité de ton lit chaleureux,

La couette repoussée sur le côté,

Je sens ton sехe vigoureux,

Tes mains déplacent mes jambes avec ԁоіgté,

Tes yeux rencontrent les miens,

Tu vois dans mon regard que je l’appréhende,

Le moment où tu vas me faire tien,

Avec ton membre généreux qui Ьапԁе,

Joueur, tu caresses mon огіfісе,

Repoussant le moment de me prendre,

Voyant que je ne peux plus attendre,

Mon impatience est pour toi un délice,

Soudain, tes yeux se ferment,

Tes lèvres m’embrassent,

Distrait par ce Ьаіsег,

Prisonnier de ton étreinte, je me laisse aller,

Tes lèvres libèrent ma Ьоuсhе,

Pour m’entendre gémir,

Entre tes bras, je lâche prise,

Pendant que tu me sоԁоmіsеs,

Contre mes fеssеs, tes tеstісulеs,

Rebondissent, rebondissent…

Et tu m’enсules, tu m’enсules…

Et je gémis, je gémis…