Cette information n'est pas destinée à préconiser de s'envoyer en l'air en s'envoyant, à plus ou moins longue échéance, dans l'autre monde.
Le ргésегvаtіf demeure le moyen de vous protéger et de protéger votre partenaire : nous ne sortirons pas de cette affirmation, parce qu'elle est juste et nécessaire.Un médicament antirétroviral, dénommé le "Truvada", peut diminuer, d'après une étude (Ipergay), le risque d'infection par le VIH à la hauteur de 86 %, s'il est pris avant et après une relation sехuеllе entre hommes.
Depuis cette annonce faite Lundi de cette semaine aux EUA, annonce qui résulte de la Conférence sur les Rétrovirus et les Infection Opportunistes mais aussi en accord avec l'Agence Nationale de Recherche sur le Sida française (ANRS) - qui a montré que la prise, disons, opportuniste de cet antirétroviral était aussi efficace que sa prise journalière -, des associations activistes gays demandent, dans de nombreux pays, que le Truvada, seulement utilisé en milieu hospitalier, soit utilisé comme moyen de prévention.
(Source : "Diario de Notícias", en ligne ; article "Truvada - o medicamento que tomado antes e depois do sехo reduz risco de VIH", par Joana Capucho, dans la section "Ciência"; article mis en ligne ce Jeudi 26 Février 2015)
Mon avis : et les quatorze pour cent de marge ?
Dès qu'une avancée médicale se précise, l'irresponsabilité se donne libre cours.
Non, le médicament qui guérirait du SIDA, ou le préviendrait, n'a pas été découvert.Photo "Diario de Notícias", Portugal.