- 21 septembre 2013 à 19:51
Au passage du temps, au serpent sinueux
Se mordant vers la ԛuеuе, la journée se fait vive
Des fureurs stellaires, imprimant à la déclive
Terrasse en éboulis le tronc silencieux
Des hêtres longilignes ; par le vent auspicieux,
Chassant les amertumes de l'esprit en dérive,
Délivrant à l'homme une flatteuse missive,
Une éclaircie advient, ainsi le bienheureux
Sentiment d'être unique, un élément physique
Que précise un soleil, et de tromper l'iпіԛuе
Loi des similitudes ; mais, l'instant se divisant
En morceaux cruciformes, renouvelle, insistant,
A notre plein zénith imprimant une chute,
Le courant qui déverse en l'ultime culbute.
Climax69007, le Samedi 21 Septembre 2013
- Comme celui du jour précédent, une variation sur la mort.