Après vérification de la conjugaison du verbe "dissoudre", oui, Grifounet, tu as raison, j'ai écrit une énormité orthographique : présent de l'indicatif, troisième personne du singulier, "il dissout" et non ce qui figure plus haut.
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- "Monsieur Climax, tendez vos petits ԁоіgts dodus à la férule, car si l'orthographe fout le camp (à votre âge !!!), c'est l'ombre du début d'un Alzheimer féroce."
- "Eh oh, ça va pas, non !!! Me faire violence à moi, alors que j'appartiens à l'élite (si, si c'est écrit, je vous assure) ? Aïïïïïïeeeeeeeuh, mais ça fait mal !"
- "C'est pour que ça rentre mieux, mon très cher fils."
- "V'là autre chose, manquait plus qu'un curé sadique. Aiïïïïïeeeeeuuh, mais ça va pas, non ?"
- "Dura lex, sed lex"
- "Qu'est-ce qui me jaspine, le cureton de mes deux, il m'a cassé les ongles que je cultive comme le mandarin. "Dura lex, sed lex", monsieur cause comme les pages roses du Larousse ? Je t'en foutrai, moi, de la "loi dure et inflexible", non mais oh."
- "Mon très cher fils, la douleur est une invitation à méditer, répétez après moi : "Il dissout", avec un "t""
- "Je m'en vais te dissoudre la figure, moi, à grands coups de lattes dans les roustons, enfin bref, soyons logiques, un peu plus haut."
Climax ayant affaire à un curé judoka se retrouva bien marri, le сul par terre, le nez en sang, et des étoiles dans les yeux, avec une de ces douleurs qui lui pulsait dans le bas des reins, je vous dis que ça.
- "Dura lex, sed lex, mon fils."