é ;
Mots défaits dans leurs fils, effilant leur empire,
Mots, mordus de remords, au printemps mort dédiés,
Mots, caves, évidés, par le vide striés.
En dépit des fautes d'orthographe, cette dernière strophe est complètement incompréhensible. J'aimerai bien que son auteur en commente la signification. Ce sera utile à nous tous.
Arrêtez de juxtaposer des mots et des mots, vous créez un néant langagier qui n'est que mort réelle du français et cela em.... le lecteur.
Où voyez-vous les fautes d'orthographe ; il n'y en a pas une seule ; "dédiés" s'accorde avec "Mots" ; "mort" s'accorde avec "printemps" ; "striés" comme "caves" et "évidés" s'accorde avec "Mots".
Et, encore une fois, n'a-t-on pas le devoir d’affronter le néant et de traiter autre chose que des fleurettes ?
Vous savez, si je compte mes quarante-trois textes sur ce site depuis novembre dernier, tous ne sont pas de cette manière-là, celle - toutes proportions gardées !!! - des grands rhétoriqueurs (les poètes qui sont venus avant Clément Marot), celle de la fatrasie (qui pousse le non-sens bien plus loin, dans des proportions inégalées ici) et celle du bruitisme (qui, lui, ne s'accorde que la liberté des sons, sans aucun égard au sens d'une langue humaine déjà constituée) : alors, voyez-vous, même si je bousсule la syntaxe, et que le sens ne coule pas de source, j'ai des prédécesseurs, bien plus considérables que moi.