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Brassens "Tempête dans un bénitier". - Littérature & poésie

Sujet de discussion : Brassens "Tempête dans un bénitier".
  • vie_en_poesie Membre expérimenté
    vie_en_poesie
    • 19 février 2019 à 03:11
    Salut les amis,

    Tout petit, rempli d'innocence et de confiance aveugle envers mes parents (que pouvais-je contre cela…), pendant que j'étais à la messe à l'église pour prier avec ferveur Dieu, mon соԛuіп Papa Hubert écoutait à la maison en cachette la chanson "Tempête dans un bénitier" de notre cher déluré Georges Brassens que je chéris aujourd'hui.

    Alors, maintenant que je suis grand (vive Charles Darwin !!), lisons avec рlаіsіг le premier couplet accompagné du refrain de cette chanson, car il dit tout …

    Tempête dans un bénitier,
    Le souverain pontife avecque,
    Les évêques, les archevêques,
    Nous font un satané chantier.

    Ils ne savent pas ce qu'ils perdent,
    Tous ces fichus calotins,
    Sans le latin, sans le latin,
    LA MESSE NOUS EMMERDE,
    A la fête liturgique,
    Plus de grand's роmреs soudain,
    Sans le latin, sans le latin,
    PLUS DE MYSTERE MAGIQUE,
    Le rite qui nous envoûte,
    S'avère alors anodin,
    Sans le latin, sans le latin,
    Et les fidèles S'EN FOUTENT,
    O très Sainte mèr'de
    Dieu, dites à ces рutаіпs,
    De moines qu'ils nous emmerdent
    Sans le latin.

    Merci à toi Georges, c'est toi que j'aime car nous nous ressemblons. Ironie du sort, tu portes le même nom que la cathédrale que je fréquentais lolllllll !!!!

    Je comprends mieux le jeu de Vatican 2, concile de 1961 à 1965, qui en supprimant le latin, a supprimé toute tromperie et tout abus à l'égard du peuple soi-disant inculte pour rabaisser l'Eglise au niveau des gens et par ce biais la ridiculiser.
    Souvent, on utilise une langue étrangère lorsque l'on veut ԁоmіпег son prochain pour lui soutirer de l'argent et faire ripaille !!

    Vos avis les amis sur cette chanson ou sur mon ami Georges !!!

    Bonne journée.
  • parfum-de-femme Membre élite
    parfum-de-femme
    • 19 février 2019 à 10:44
    Mon avis, c'est que tu utilises "ami" d'une façon bien cavalière…

    Les mots ont un sens, comme dirait Climax.

    L'amitié est un bien partagé; comment être ami de quelqu'un que l'on a jamais vraiment connu

    Comment peux tu être ami d'un mec mort

    Quand tu nous évoques comme tes amis, qu'en sais tu vraiment

    Non pas que je te sois hostile; je t'écris, ce qui est amical de ma part.

    Ce conseil l'est aussi:
    Tu as besoin de poser les pieds sur terre, de te confronter à la réalité des choses, pas de errer avec nos chers disparus, Vatican 2 ou un certain Jérémy…

    Enfin, la poésie est un espace de liberté quand elle part du réel mais c'est une prison quand sa justification est de le fuir.

    Pense-y…
  • tres-calin Membre suprême
    tres-calin
    • 19 février 2019 à 11:54
    En réponse au message de vie_en_poesie :

    Salut les amis,

    Tout petit, rempli d'innocence et de confiance aveugle envers mes parents (que pouvais-je contre cela…), pendant que j'étais à la messe à l'église pour prier avec ferveur Dieu, mon соԛuіп Papa Hubert écoutait à la maison en cachette la chanson "Tempête dans un bénitier" de notre cher déluré Georges Brassens que je chéris aujourd'hui.

    Alors, maintenant que je suis grand (vive Charles Darwin !!), lisons avec рlаіsіг le premier couplet accompagné du refrain de cette chanson, car il dit tout …

    Tempête dans un bénitier,
    Le souverain pontife avecque,
    Les évêques, les archevêques,
    Nous font un satané chantier.

    Ils ne savent pas ce qu'ils perdent,
    Tous ces fichus calotins,
    Sans le latin, sans le latin,
    LA MESSE NOUS EMMERDE,
    A la fête liturgique,
    Plus de grand's роmреs soudain,
    Sans le latin, sans le latin,
    PLUS DE MYSTERE MAGIQUE,
    Le rite qui nous envoûte,
    S'avère alors anodin,
    Sans le latin, sans le latin,
    Et les fidèles S'EN FOUTENT,
    O très Sainte mèr'de
    Dieu, dites à ces рutаіпs,
    De moines qu'ils nous emmerdent
    Sans le latin.

    Merci à toi Georges, c'est toi que j'aime car nous nous ressemblons. Ironie du sort, tu portes le même nom que la cathédrale que je fréquentais lolllllll !!!!

    Je comprends mieux le jeu de Vatican 2, concile de 1961 à 1965, qui en supprimant le latin, a supprimé toute tromperie et tout abus à l'égard du peuple soi-disant inculte pour rabaisser l'Eglise au niveau des gens et par ce biais la ridiculiser.
    Souvent, on utilise une langue étrangère lorsque l'on veut ԁоmіпег son prochain pour lui soutirer de l'argent et faire ripaille !!

    Vos avis les amis sur cette chanson ou sur mon ami Georges !!!

    Bonne journée.

    Il est vrai que l'on ne compte ses véritables amis que sur les ԁоіgts d'une seule main.
    Brassens avait un style à la fois plaisant, mais à la limite blessant pour certains.
    J'avoue que cette chanson n'est pas celle de Brassens que je préfère.
    Bonne journée à toi.

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