la voici dans son illustre "Casta Diva" de la Norma de Bellini
au festival des Chorégies d'Orange en 1974,
opéra qui la rendit célèbre sur toutes les scènes internationales
par son phrasé très belcantiste.
La meilleure et la plus fascinante dans le genre.
En live, avec un vent froid en plein visage, Elle y est prodigieuse.
Je n'en dirai pas plus.
Enjoy !
tom.pillibi
Membre émérite
16 janvier 2016 à 06:52
Bonjour Jiminy,
Le morceau que tu nous proposes est un pur bijoux. Nous avons eu durant la semaine un panel de différentes prestations de Montserrat Caballé et pas un instant je m'en lasse ! A titre personnel, cette Soprano est la plus grande. Je te remercie Jiminy de nous avoir fait connaître le répertoire de cette grande Dame. C'est exceptionnel !
Maintenant j'ai peur pour la suite ! Mais j'ai confiance en toi Jiminy, je sais que tu vas nous épater ! Encore merci Jiminy au mаîtге que tu es, choix sublimes durant tous ces jours.
Le titre de ce matin, je vais à présent le réécouter !
Et VIVA MONTSERRAT !!!!
Félicitations .............
sorbet
Membre élite
16 janvier 2016 à 07:33
Que ce vent de front doit être désagréable...! Toujours top!
pegase49
Légende urbaine
16 janvier 2016 à 10:20
Bonjour Gérard,
Cet air nous entraîne vers une histoire d'amour impossible entre la grande prêtresse Norma et le proconsul Pollione...
Histoire impossible mais consommée...
Et les histoires d'amour finissent mal, en général!
Que dire sur cet air et Montserrat Caballé qui n'à pas été déjà dit?
Merci Gérard et bonne journée.
Sébastien
jiminy
Membre émérite
16 janvier 2016 à 17:01
En réponse au message de pegase49 :
Bonjour Gérard,
Que dire sur cet air et Montserrat Caballé qui n'à pas été déjà dit?.
Sébastien
Que dire, en effet ! C'est juste une interprétation unique pour clore en beauté cette semaine que je lui ai consacrée.
Merci à tous de vos visites et commentaires sympas.
Bon week-end et bon écoute !
ji13
Membre élite
16 janvier 2016 à 17:36
Superbe merci pour se moment agréable
sirendip
Membre confirmé
16 janvier 2016 à 23:08
Bonsoir à l'auteur de ce post lyrique, aux mélomanes d'Issy ou d'ailleurs, et aux lecteurs de passage
Ces chastes déesses sont en effet superbes quand elles sortent du palais de la Caballé. En lisant rapidement quelques lignes plus haut, j'ai cru un moment qu'elle avait disparu. Janvier prend tellement.
Cependant, dans cet air légendaire, j'ai aussi un faible pour Maria Callas. J'en ai encore des frissons, et pas parce qu'il fait enfin un vrai temps d'hiver.
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