Cernés par les рlаіsігs, les yeux de tes jоuіssапсеs
Ont un éclat félin, miroitant de la nuit ;
Dédaigneux ils reposent, et le désir s'enfuit :
Ta pupille éclaircie chassent sрегmеs et puissances
Et corps entremêlés. Futiles renaissances
Des visions diurnes ! La coutume et l'ennui,
Les discernements sages ! Mais les corps sont des puits
Pour les chasseurs d'amours ! Et dans les lactescences
D'un mâle il persiste un surcroît de vérité,
Une âme enfin trouvée unie aux tеstісulеs !
Tes yeux restitués aux рlаіsігs libellules
Noircissent et s'écarquillent, plombés d'éternité.
Par ton souffle écourté et par ton inquiétude
Dans l'éjасulation, s'écrit ta plénitude.