Cette prunelle vive, ombragée par le noir
Du peuplier qui dresse aux barrières estivales
Un enclos de fraîcheur, un cercle de pétales
De ces roses trémières épanouies dans le soir,
D'une ardeur cavalière attouche mon espoir
Et, songeuse, m'attire aux ргоfопԁеs spirales
De la verdeur diaphane, et dans les ondes astrales
Je reprends mon haleine, et je plonge au miroir
Jusqu'au vert diapré, jusqu'à l'âme subtile
Effaçant fugitive, en jouant la stupeur,
Les traces qui enflamment un avide chercheur
De ton or pailleté, parsemant la mobile
Sphère où je me confonds - et repousse le deuil -
Dans l'ultime рlаіsіг, quand se ferme ton œil.
Climax69007, le Mardi 8 Octobre 2013.
--- Voilà ce que je puis faire de mieux de ce texte, qui attend, si cela vous tente, votre critique argumentée, et vos conseils, comme d'habitude.
Cela me ferait рlаіsіг !!!
Faites comme vous l'entendrez !
J'espère que vos remarques ne seront pas trop dures à digérer :
!!!
Mais, vous le savez bien, il vaut mieux des remarques, fondées en raison (s'il vous plaît), qui égratignent un amour-propre qu'une connivence et un acquiescement coupables, qui laissent ignorer les défauts d'un texte.