Écoutez comme Bilal Sghir ose des sonorités impossibles en langue française.
Écoutez comme cela sonne et monte en volutes.
Plaintif ? Non, ça s'arrête juste avant le pathétique.
Écoutez comme, derrière des musiques
apparemment toujours ressemblantes,
il y a des variations.
Percussions des tambours et les flûtes.
Et les synthétiseurs.
Et le chant, entre déclamations et mélopées.