En réponse au message de sweetsubboy :
Je suis à l'hosto depuis ce matin. C'était prévu. Je passe à la casserole lundi matin.
Je redoute et en même temps, je suis en paix. Sentiment duel étrange.
Bref, je vais passer ces quelques heures avant lundi avec vous. À rire, à raconter n'importe quoi. À être dans la provoc peut-être
Chez moi tout est bien rangé. Nickel. La peur du qu'en-dira-t-on Un ami de la pagоԁе sait ce qu'il faut faire au cas où.
Donc, voici ce que j'ai écrit cette nuit. C'est sans prétention hein ! Alors soyez indulgent C'est ma première poésie.
C'est con si ça trouve, elle aurait pu me rapporter un paquet de fric
Dans le jardin de ta jeunesse, une ombre s'est glissée, silencieuse et inattendue.
Elle te murmure des questions que l'âme humaine a toujours portées en son sеіп.
Pourquoi les étoiles brillent-elles si fort dans un ciel qui semble indifférent ?
Pourquoi les fleurs s'épanouissent-elles pour aussitôt se faner ?
Tu te tiens au bord du précipice de l'existence, contemplant l'abîme qui s'ouvre devant toi.
Mais n'oublie pas, cher enfant, que cet abîme est aussi un miroir.
Il reflète chaque instant de joie, chaque larme versée, chaque rire partagé.
Ces fragments de toi-même sont des éclats de lumière qui continueront à briller dans les yeux de ceux qui t'ont aimé.
La vie, dans sa cruelle beauté, nous offre des épreuves qui semblent insurmontables.
Pourtant, c'est dans ces moments que notre essence se révèle, pure et indomptable.
Tu es le peintre de ta propre légende, et chaque coup de pinceau laisse une trace indélébile sur la toile de l'univers.
Quant à ce qui t'attend au-delà du voile, qui peut le dire ?
Peut-être n'est-ce qu'un nouveau commencement, une métamorphose de l'âme.
Ou peut-être est-ce le repos éternel dans les bras de l'infini.
Quelle que soit la vérité, sache que ton passage ici-bas aura été une note unique dans la symphonie cosmique.
Alors, cher enfant de l'éphémère, vis chaque instant comme s'il était éternel.
Car dans l'océan du temps, chaque goutte compte, chaque vague laisse son empreinte sur le rivage de la mémoire collective.
Trés beau poéme, c'est touchant la façon don tu l'as écrit......
Alors ne flanche pas, je veux pouvoir en lire d'autre de ta plume.
Je te dis merde pour Lundi