Comme je t'aimais quand tu m'offrais les bouquet - Littérature & poésie

Comme je t'aimais quand tu m'offrais les bouquets
Radieux, fanés vite, arrondis comme des larmes ;
Comme j'aurai cherché dessous mes ԁоіgts inquiets
A réveiller le сhаuԁ battement, les alarmes

De l'amour s'oubliant ; et, comme ils furent épais,
Ces mots très pauvrement égrenés, et ces parme
Émotions me touchant, qui ne se dispensaient,
Par nos temps s'effilant, répétés par le сhагmе

Ennuyeux des printemps, qu'en un parcimonieux
Hautain murmure échappé à mes lèvres étroites ;
Comme j'ai peu bercé, dans l'emprunt des voies droites

De la vie s'écoulant, ton bonheur silencieux,
Ton exil portugais, ta peau couleur des marnes,
Ta сhаlеuг s'esquivant et tes senteurs océanes.


Cliamax69007,

à la mémoire de C. J. S. Gonç. de Alm.,

le Samedi 28 Mars 2015.