Comming out - Homosexualité

Sujet qui reviens souvent, je vous fais partager un dessin et texte lu sur le net, et attend vos reactions pour faire partager avec tous vos ехрегіепсеs (questions,reponsces, ехрегіепсеs.....)



Le besoin d’être reconnu pour ce que l’on est sans être jugé, l’епvіе de revendiquer son statut pour pleinement s’épanouir, la nécessité d’afficher ses préférences afin de se libérer de ce sentiment de secret honteux : Voici quelques raisons parmi des centaines, suivant chacun, de faire son coming out. Car s’il peut être considéré comme un choix, affirmer, avouer son hоmоsехualité à son entourage, n’est pas toujours chose aisée.

Pour beaucoup d’hétéros, il est plus facile de tolérer les homos du moment qu’ils ne les fréquentent pas ; peur d’une contagion ou simple difficulté d’acceptation ? Est-ce la faute de l’éducation, où l’on nous inculque dès le plus jeune âge que A va forcément avec B, sous peine d’avoir une équation erronée ? Malheureusement, l’homo dérange et fait figure de prédateur pour beaucoup d’hétéгоsехuеls, craignant d’être éЬгапlés (sans jeu de mots, s’il vous plaît) dans leur sехualité. Après tout, il est logique d’avoir peur de l’inconnu, et si l’hétéгоsехuеl doit se fier à l’image de l’hоmоsехuеl décrite dans notre culture depuis des années, il reste énormément de travail à faire sur l’évolution des mœurs et l’intégration des gays dans la société.

A une époque où la société se dit plus ouverte, où tolérance et hypocrisie sont difficiles à cerner, le choix de sortir du placard mérite malgré tout mûre réflexion ; il est souvent risqué de crier haut et fort ses préférences, sous peine d’être réduit à un simple cliché. La peur de perdre l’amour de ses proches ou tout simplement les décevoir, sont autant de facteurs dans la décision d’annoncer ou non son hоmоsехualité. Mais souvent hélas, le sentiment constant d’étouffement au quotidien, l’impression de ne pas paraître entier dans un environnement où l’on se sent différent, rejeté même, le sentiment d’imposture, peuvent précipiter le besoin de briser le silence et ainsi se libérer d’un secret qui se faisait plus pesant au fil du temps. Car s’il est difficile de subir le regard et le jugement des autres, il est parfois nécessaire à un moment précis de vivre pour soi et ses convictions, afin de profiter pleinement de la vie.




http://blogs.tetu.com/dans_ma_bulle/2009/10/05/coming-out-un-choix-difficile/

Récemment j'ai avouer mon hоmоsехualité à ma mère.
Elle s'en doutait qu'elle m'a dit.
"Comparé à ton frère, tu parlais jamais de filles"
Comme ça c'est fait ... Enfin bon elle la très bien prise, comparé à d'autre parents qui ne l'accepterai pas aussi facilement... Une bonne mère ce doit d'accepter les choix de son fils...
Enfin bon maintenant il est vrai que je me sent libéré. En revanche mon frère qui est 100% Hétéro lui je lui dirai plus tard ... Comme il est écrit dans le texte, mon frère a certaines rétissance au niveau des gays.
En revanche il trouve cela normal qu'il y ai des lesbienne ... N'imppp"

Comming out très bien passé et si sa aurai pas était le cas je les emmerde on est lesbienne et alors

Moi je le fait juste qd on me demande je m assume mais je ne veut pas le crier sur les toi

Coming out reussi mais comme beaucoup je le crie pas sur les toits aussi...
mais quelle liberation c est sure...
plus de mensonge,plus de questions,plus de doute

Moi je le crie pas sur les toits mais voila dans la rue je tiens par la main ma chérie je l'embrasse etc

« A une époque où la société se dit plus ouverte, où tolérance et hypocrisie sont difficiles à cerner, le choix de sortir du placard mérite malgré tout mûre réflexion ; il est souvent risqué de crier haut et fort ses préférences, sous peine d’être réduit à un simple cliché.»
Personnellement, je ne suis jamais entré dans le placard (enfin pas celui de ce genre ) parce que je me suis toujours su gay et normal. En me cachant, j’aurais eu l’impression de dire aux hétéros : « Vous avez raison, je ne suis pas normal, c’est honteux. » Faisant partie d’une minorité qui a des droits à revendiquer pour lui et ses semblables, sans me sentir obligé de le crier sur les toits, j’ai toujours vécu normalement, en m’assumant sans peurs du rejet et des qu'en-dira-t-on. Ma personnalité fait que n’aurais pas pu me taire pas plus que je ne le fais ici. Je pense que si je n’ai pas rencontré de problèmes majeurs parce que je suis gay est dû au fait que je me suis toujours accepté tel que je suis. « Le positif attire le positif » comme on dit.
Ceci dit, je comprends qu’on hésite à le dire compte tenu de ce qui peut en découler dans la vie des uns et des autres. Le comming-out effectivement mérite réflexion. Pour la majorité, je pense que le comming-out doit se préparer non pas simplement sous le questionnement « comment le dire » mais surtout, « comment me préparer et assumer un rejet possible. » A mon avis, envisager sereinement des réactions est moins douloureux que de les appréhender.


Pour ce qui est de la remarque de Denk, je ne suis pas d’accord pour dire « qu’une bonne mère ce doit d'accepter les choix de son fils» pas plus, que je dirais, qu’un enfant est obligé d’aimer ses parents. Mais c’est un autre débat.

Moi je suis moi. rien a dire a personne, aucun compte a rendre.
on m'accepte ou pas, que ce soit pour l'hоmоsехualité, mes pensées, ma façon d'agir, de réagir, de parler, ou quoi que ce soit.
je n'affiche, ni ne revendique rien du tout, et je veux pas qu'on me fasse chier. après tout, je ne demande rien a personne, et j'en attends autant en retour.

A part pour ma mère et mes frères, je me fous de l'avis des autres.