D. l'homme empaqueté, digéré par son ventre - Littérature & poésie

D. l'homme empaqueté, digéré par son ventre,
Mais, quel désastre, enfin, instrumenta le sort ?
Les dés sont innocents, de plus E.T. ne rentre
Pas en ce domicile. Qui a bâti un fort

Dans cet homme raidi par les os des vertèbres ?
La charcuterie ? Point, il n'avait pas de dents
Pour mastiquer dedans. Par un jour de ténèbres,
Il fut retourné comme un gant, viscères aidant

Creusé par l'émotion, il fut tout déforesté
Comme le Mont Chauve, écouillé, délesté
Par la rotondité et par la bourgeoisie

Du ventre anthropophage. Quant il se trouve assis
Le menton joint aux fеssеs comme un vieux pain rassis,
Il brise un comprimé dans son âme endurcie.

Un épisode
de l'Abécédaire des Lettres Majusсules
ou
La vie іпtіmе des Lettres révélée !

Climax69007.

Je me demande si c'est vraiment l'епvіе qui t'a poussé à écrire pas mal de poèmes ces derniers temps ou juste parce que dernièrement une autre personne en a écrit pas mal et que tu voulais en faire de même.

Darachael m'a stimulé.

Mais je ne doute pas qu'il puisse produire des textes en bien plus grand nombre que moi : du point de vue quantitatif, la bataille est perdue.

Et puis, tu sais, si je suivais ma pente іпtіmе, je n'écrirais presque jamais, Justnobody.

Avant le E, il va s'écouler du temps !

En réponse au message de climax69007 :

du point de vue quantitatif, la bataille est perdue.

Sous entendu: du point de vue qualitatif, la bataille est gagnée?!

Bouuuh Climax, bouuuh x

Comme si chaque ligne écrite n'était pas en soi un pari, Rebel Heart, et comme s'il y avait une qualité établie avant même l'écriture ! Je ne prétends pas à cela, il n'y a pas de sous-entendu : j'écris, c'est bon, mauvais ou médiocre, plus ou moins, c'est le b.a. ba. du réalisme !