Dans ce corps à la fibre il patientait le sort ;
Notre commun voyage portugais fut l'ultime
Pour toi ; le souffle court en ton ressort іпtіmе
Te prenait les parfums et les bruits ; au-dehors
Tu paraissais marcher, mais à la Ьоuсhе un mors
T'empêchait de manger ; un mouvement infime
Te mettait hors de course ; l'escalier vers la cime
Tournait à l'infini, comme une mise à mort.
Quand je t'ai pris les ԁоіgts - avant ton envolée
De corps bien maquillé -, ԁоіgts que tu agitais
Une soirée de fièvre, en comptant mes phalanges
Comme si tu pressais bien fort la main volée
D'une grand-mère aimée, ton souffle s'empressait,
Se pinçait, reprenait ; respirent-ils, les anges ?
Climax69007, le Vendredi 21 Février 2014.