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Dans le rien à la tâche, dans l'espace à la nage - Littérature & poésie

Sujet de discussion : Dans le rien à la tâche, dans l'espace à la nage
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 6 juin 2015 à 18:30
    Son corps était dessous le manteau, dévoilé,
    Flottant sous le plein ciel, libre sous le nuage,
    Dans le rien à la tâche, dans l'espace à la nage,
    Lâchant une apparence, mon silence étoilé ;

    A peine une lueur, à peine un maigre été,
    Le vague appareillant, la poussette en voyage,
    Cadeaux de la famille dessous un emballage,
    Un moment suspendu, et tu auras été.

    L'amour est bien léger, au vent il ne résiste,
    En sentiments passants persistants il insiste ;
    Sur la nuque un Ьаіsег, un sourire esquissé,

    Quelques mots délaissés, quelque parfum glissé,
    Et une absence instante, par instants plus obscène :
    Un mordillement lent, te voici à la peine.

    Samedi 6 Juin 2015.

    Climax69007
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 6 juin 2015 à 18:41
    -
  • yoomy Membre suprême
    yoomy
    • 6 juin 2015 à 18:51
    En réponse au message de climax69007 :

    -

    -
  • pegase49 Légende urbaine
    pegase49
    • 6 juin 2015 à 19:28
    Perfide, l'amour récidive...

    Jouant avec nous, pauvres victimes, de nos faiblesses il abuse.

    Ah, l'amour!
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 7 juin 2015 à 18:45
    Son corps était dessous le manteau, dévoilé,
    Flottant sous le plein ciel, vide sous le nuage,
    Dans le rien à la tâche, dans l'espace à la nage,
    Donnant une apparence, mon silence étoilé ;

    A peine une lueur, à peine un maigre été,
    Le vague appareillant, la poussette en voyage,
    Cadeaux de la famille dessous un emballage,
    Un moment suspendu et tu auras été.

    L'amour est bien léger, au vent il ne résiste,
    En sentiments passants persistants il insiste ;
    Sur la nuque un Ьаіsег, un sourire esquissé,

    Quelques mots en partage, quelque parfum glissé,
    Et une absence instante, par instants plus obscène :
    Un mordillement lent, te voici à la peine.

    Texte révisé.
    Dimanche 7 Juin 2015.

    Climax69007

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