En réponse au message de didmic83 :
Oups , je n’ai pas résisté à une 2ème lecture .
Je rectifie : ok pour les virgules , le ( ; ) mais j’ai remarqué , en plus , une expression entourée de ( « ... » ) et d’une autre entre ( - ) et généreusement ponctuée d’un ( ! )
Bravo , tu t’améliores ou ... tu faiblis !
Je renonce à la 3ème lecture car point trop n’en faut et que j’ai compris que tu ne voulais pas comprendre NOS remarques ( vinsang , tony_truand et les miennes , en l’occurrence sur tes longues phrases ) et que ton côté « donneur de leçons » nous gonfle parfois ! ( remarque , c’est récurrent pour un prof ! )
Alors , à l’avenir , Serge , tout en continuant à te lire et à t’apprécier (ou pas) , je m’abstiendrai de tout commentaire ... très généreux , je te le concède , ... en ponctuation !
Sans rancune ...
Je ne donne pas des leçons ; j'explique pourquoi telle ou telle forme ; ainsi la forme longue fait surgir des mots qui autrement ne me viennent pas ; elle est donc un moyen.
Je suis prof ? Oui, et alors ? J'explique pourquoi et comment ce texte ? C'est professогаl ?Pour une fois que sur Ton Gay, on se préoccupe un peu de forme littéraire, nous débattons simplement, alors pourquoi les uns auraient-ils droit à la parole et moi le droit de la boucler, sous prétexte que je serrais "professогаl" en n'étant pas d'accord ?
La belle affaire de tomber d'accord sur le fait que je pratiquerais une ponctuation a minima, alors que c'est faux : c'est une illusion que procure la longueur des membres de mes phrases, une ILLUSION !
Comment pourrais-je convenir de ce qui est faux ?
A chaque articulation logique de la phrase ou des phrases, je place des virgules, et de plus il y a bien des fonctions grammaticales qui sont déployées par des formes identiques qui se suivent construites pareillement : ma ponctuation n'est pas a minima ; elle est des plus communes et commandée par les point de vue logique !
Libre à toi d'être un lecteur silencieux ; après tout, si le commentaire te pèse et s'il te faut un acquiescement pour que tu persistes à commenter, ma foi, je n'y puis rien !