De l'estomac... - Littérature & poésie

Lorsque , dans la rue, où tout le monde circule,
Oppressant et pressé, un quidam vous bousсule,
On se dit qu'il en a pour citer son culot...
Mais ce n'est pas un rat, pas plus qu'un surmulot:

Ayant de l'estomac.

Tout comme en un banquet lorsque j'emplis ma "panse"
Ce n'est pas au cou bas de la vache que je pense,
Mais suis estomaqué de manger ainsi trop.
Or je ne peux marcher qu'au pas; pas même au trot!...

Lourd est l'estomac.

Quand le ventre a très faim? Il n'aurait pas d'oreille.
Mais plus gros sont ses yeux lorsqu'un gourmand s'éveille...
Peut-il aussi descendre jusque dans les talons
L'estomac vide?...Alors au galop l'étalon!

Où va l'estomac?

Après un bon repas, rassasié je digère.
Tous restaurants fermés affamé je dis: j'erre
Aussi...En orient, cela leur semble gros
On remercie le ciel lorsqu'on profère un rot...

Hommage à l'estomac?...

Il semblerait qu'on l'aime. On s'en met plein la lampe,
Le sac, la tirelire, en été lorsqu'on campe
On remplit le buffet, on l'appelle coco
Cet appétit d'autruche aux jolis noms d'oiseaux...

C'est l'argot d'estomac.
Survivance de l'art Goth?...

Tiens, pendant que j'y pense…
Manger avec émotion,
C'est tout une différence,
Manger ses émotions.

Quelques lettres qui changent,
Trois fois rien en effet,
Les faits de trois fois rien,
Qu'il faut toujours traîner.

Estomac réceptacle,
Remplit de tant d'humeurs,
Qu'au final, il empathe,
Le corps pour son malheur.

En réponse au message de parfum-de-femme :

Tiens, pendant que j'y pense…
Manger avec émotion,
C'est tout une différence,
Manger ses émotions.

Quelques lettres qui changent,
Trois fois rien en effet,
Les faits de trois fois rien,
Qu'il faut toujours traîner.

Estomac réceptacle,
Remplit de tant d'humeurs,
Qu'au final, il empathe,
Le corps pour son malheur.

Pour ne pas empâter
Ne mangez pas de pâtes
Mais pas trop de pâté
Alors mince on épate...

L'estomac réceptacle
Il digère; ou s'il bâcle
Vous voyez le spectacle!
Avec quoi on le racle?...

En réponse au message de parfum-de-femme :

Tiens, pendant que j'y pense…
Manger avec émotion,
C'est tout une différence,
Manger ses émotions.

Quelques lettres qui changent,
Trois fois rien en effet,
Les faits de trois fois rien,
Qu'il faut toujours traîner.

Estomac réceptacle,
Remplit de tant d'humeurs,
Qu'au final, il empathe,
Le corps pour son malheur.

Les motions de censure
N'ont pourtant rien à voir
Avec tout le pouvoir
D'émotion de sang, sure!

Cher Alain,

Pour ne pas empâter,
ne mangez pas le corps virtuel de Jésus,
mais celui véridique de votre аmапt, sa сhаlеuг !

Bisous.