Dans la vie d'une dame richissime, un seul amour de beauté la rachète de la stupidité et de la cupidité de sa classe sociale de bourgeoise possédant les moyens de production et extrayant la plus-value capitaliste : son penchant pour le chant. Elle se croit une grande cantatrice : elle est sans cesse au bord du déraillement, c'est fluet, sans vérité, elle massacre le plus somptueux, bref elle n'a pas appris.
Le malheur d'une grande bourgeoise - pour ce que je connais de ces milieux - est de confondre le fait d'être né avec une cuiller d'or dans la Ьоuсhе, par héritage, et le fait d'avoir, de naissance, une voix sans travail.
La travail n'est pas une opération facile pour une classe touchant des dividendes et des jetons de présence.
C'est une tragi-comédie !
Merci, Nathanael !