Dans tous les pays du monde, depuis plusieurs années, on fait des lois sans trop en «défaire».
En France, en 2013, il y a encore des textes de lois toujours en vigueur qui font sourire peut-on lire dans les infos du jour. Abrogés petit à petit ces textes, qui à l'époque où ils ont été votés, avaient un sens, n'en ont heureusement plus aujourd'hui.
Quelques exemples en c/c:
«Jusqu'au 31 janvier dernier, vous étiez, Mesdames, des millions chaque jour à enfreindre la loi, tout simplement en portant un pantalon ! La faute à une loi qui remontait au 17 novembre 1800 et qui était toujours en vigueur. Toute femme vivant à Paris et qui souhaitait sortir en pantalon devait demander une permission de tгаvеstіssement à la préfecture.»
«Il est strictement interdit d'appeler son сосhоп 'Napoléon !'» Pour les autres animaux, aucune mention.
«Il est illégal de prendre des photos de policiers ou de véhicules de police, même si elles sont juste à l’arrière-рlап.»
«Un cendrier est considéré une arme mortelle.»
«A Paris, une poubelle est considérée comme une arme mortelle.»
«L'article 2 du décret du 1er mars 1852, toujours en vigueur, mais plus du tout appliqué, précise quant à lui la tenue officielle des maires : chapeau à plumes noires, habit bleu avec borderies en argent, épée argentée.»
«Selon la loi électorale, il est interdit de modifier une liste déposée et validée par le ministère de l'intérieur. Du coup, si l'un des candidats meurt, les électeurs peuvent se retrouver à voter pour un mort !»
Autre texte, récent celui-là : «un arrêté du 30 septembre 2011, relatif aux repas dans la restauration scolaire, fixe la fréquence des merguez, chipolatas et autres saucisses de Francfort, dans les menus des cantines ! Pas plus de 2 ou 3 fois tous les 20 repas.»