Si pittoresque soit-il, ce témoignage doit être considéré pour ce qu'il est ; à savoir le récit d'un itinéraire affectif (ou assimilé) et personnel qu'il convient de ne pas trop généraliser. Ce n'est pas parce que Monsieur tirait sa crampe dans des ріssotières que les hоmоsехuеls de sa génération soulageaient autre chose que leur vessie dans les lieux d'aisance, ni que les bars gays et autres "gay-tapant" étaient un passage obligatoire et nécessaire pour nos prédécesseurs "invertis".
Cette confession publique d'un lіЬегtіпаgе pléthorique doit en outre être nuancée à l'aune de son objectif silencieux. L'auteur est loin d'être bête ; il a compris l'utilité d'internet. Nul doute que le formulaire de contact aura été commode pour rameuter dans quelque bonne adresse tel garçon nostalgique du bon vieux temps. De quoi noircir bien des lignes dans le fameux petit carnet...