La grosse dinde
La grosse dinde qui rit, n’est pas un animal, même si elle glousse comme la bête et qu’elle l’est énormément, bête. Oh certes, elle a l’air très stupide, mais ne vous fiez pas, c’est une tactique de séduction dite « Technique du gros boudin » ; C’est une catin qui trémousse son derrière sous votre nez en pensant que vous vous dîtes « Celle-la, je vais te l’attraper ! »… Ca ne marche pas car, ne nous faisons pas d’illusion, elle est moche. Certes, elle fait tout pour vous plaire ; elle se fait belle ; elle fait ressortir sa poitrine Kleenex et rit à chaque blague que vous faites, si vaseuses qu’elles soient. Elle fait semblant de ne pas comprendre ce que vous dîtes afin de se noyer dans vos yeux dès que vous commencez vos explications ;
Toute petite, elle travaillait déjà son futur talent, devant un miroir, mais jamais dans son bain car elle est si faible d’esprit qu’elle aurait coulé à pique. La grosse dinde qui glousse a grandit ; elle a dix ans, et rit comme un cachalot à chaque mot de son institutrice, et version gros boudin, elle se la joue à fond. Vers l’âge de seize ans, elle en a assez d’être la seule à se faire insulter, alors elle cherche un homme ; et quand elle l’a trouvé, elle s’accroche à lui comme un morpion. Puis trois mois plus tard, elle a réussit sa mission, et lui, il boit pour oublier son malheur.
Plus tard, dans sa vie d’adulte, si tant est que l’on puisse appeler cette chose un adulte, elle se gave de pomme-chips et de coca-cola. Elle se prend pour une jeune, se promène en mini-jupe et drague le petit copain de sa fille, elle-même une grosse dinde qui glousse. Elle est encore pire que plus jeune, si débile que vous en avez la cervelle qui tombe dans les gоԁasses. Elle croie toujours au Père Noël, et chaque année, elle se commande un homme parce que le dernier est mort d’une cirrhose du foi. Elle se retrouvera, soit dans la rue à faire la manche, soit en psychiatrie pour zооphilie canine.
Il est impératif de la reconnaître si vous voulez l’éviter : Elle rit tout le temps comme un сосhоп qu’on égorge. Elle est moche, pas futée, tout chez elle est artificiel et sa moumoute se décolle. Si toutefois un doute persistait, faîtes-lui lire le portrait du dépressif : Si elle rit comme une folle hystérique, inquiétez-vous ; mais si elle rit chaque fois que vous lui dîtes « Piou-piou », alors, calmement, faîtes demi-tour et FUYEZ… Elle réagit comme un dinosaure, vous serez loin avant qu’elle ne s’aperçoive de votre absence.
Je tiens à m’excuser auprès des personnes qui viendraient à se reconnaître dans ce portrait, pour les mots : Catin, moche, faible d’esprit, morpion, débile, zооphile, folle hystèrique, et dinosaure, qui sont tous des gens qui ne m’ont rien fait.
Tout ceci est une pure fiction, toute ressemblance avec des personnages ayant déjà existé serait une pure coincidence...