EPITAPHE
Ta vie, défuпt poète aux amours délaissées
De tes espoirs déçus et mortelles alarmes
Ainsi dans tes écrits tu fis sourdre tes larmes
Pardonnez s'il vous plait de les avoir versées.
Sa vie aussi de joie et d'amours confessées
Qu'imposaient des départs eux retours pleins de сhагmеs,
Ou partages d'espoirs auxquels on rend les armes...
Or celles du poète étaient bien émoussées!...
Encor son âme vole et magnifie les maux...
De musique elle insuffle et vibre au fil des mots
En vers mélodieux qui font rythmer la phrase.
Sa dépouille gît là, mais dans ces vers est telle
Une ultime pensée, un feu qui vous embrase
En la dalle gravé, car son âme immortelle.