Le cœur palpite au centre,
L'astre palpite au ventre.
Il demeure une ivresse
que nous tenons en laisse ;
au cœur elle foudroie,
dans le ciel elle ondoie,
cette lueur sans trêve,
ce passage du rêve,
la ԛuеuе de la comète
qui a un air de fête,
et éclaire la sente
où le passé s'évente,
faisant place à nos pas.
Bobarnaud, bises !!!