Il n'y a plus d'amour, mais une adoration
Acharnées à l'autel, plus cette incandescence
Qui brûlait les pulsions, mais une évanescence
Bannissant les atomes jusqu'à leur extinction ;
Il n'y a plus d'été, mais une station
Des soleils, des lunes, de la luminescence
Projetant avec peine des lueurs par décence ;
Il n'y a plus de fеssеs ni plus de croupion,
Plus d'arrière ou devant, plus que des anges infirmes
Se mariant aux fantômes, aux frôlements іпtіmеs
Des pures chastetés ; il n'y a plus d'élan
Mais des mots surveillés, et puis se comprenant
Sans l'ombre d'un effort ; il n'y a plus d'orage
Mais la tranquillité d'un cimetière sage.
Climax69007.