Il s’effrange un silence, un vide à la recherche
De ce mot transparent comme un dard tгапsperçant
Des carreaux véritables, de ce mot commerçant
Visitant chaque Ьоuсhе, de ce mot à la pêche
Тгапsmettant les nuances veloutés de la pèche ;
Aux circonvolutions le velours hérissant
D'une sombre allégresse me possède en hissant
Le bruit à la rencontre de ce qui me dessèche :
Ton amour que je sais, et qui ne parle pas ;
Mon amour que je sens, longuement balbutiante
Coulée nous mélangeant. Que les mots sont brutaux,
Leurs pinces enserrant tout comme des étaux
La glissade amoureuse hésitante et patiente,
La sente effacée où nous inventons les pas !
Climax69007, le Dimanche 18 Mai 2014.