Il y a cet amour, qui dure trop longtemps,
Et qui, d'être passé, vient usurper son nom,
Dont la pâleur lustrée se pare du démon
Qui ricane, sauvage, et va en s'affublant
Des parures d'antan, des regrets du printemps,
Des souhaits inaccomplis, des сhагmеs du long
Souci qui autrefois en disant ton prénom
Me рéпétгait de ton âme, et je fus l'аmапt
Persistant en dépit des folies et des larmes,
Et malgré les rudesses et malgré les alarmes,
Me calquant sur ton être, me défaisant de moi,
Épousant ton délire, repoussant toute faille
Qui nous eût ébréchés ; refusant mon émoi,
J'ai formé la suture en pierre de taille.
Climax69007, le Vendredi 6 Décembre 2013.
-------------- Sage décision de la modération que de limiter les sujets à quatre par jour et par personne !!! -------------------------------