Il y a des mirages à perdre tout l'Orient,
Dessinant sur les sables où s'allongent les ombres,
Les splendeurs masculines et les espagnols hombres,
Les lueurs de leur peau où se déploie Adam,
Les hérissements doux, présage d'un аmапt ;
Puis le retrait des eaux, aux ргоfопԁеs pénombres,
Par la vivace étoile, dans des éclats sans nombres
Retombant en dorures, nous prodigue un aimant ;
Alors, sans barguigner , il faut répudier la lune,
Déjouer son jeu hautain, ne faire d'elle qu'une
Vanité, n'espérer rien en dehors de la
Beauté venant te prendre en ta fière attitude
Qui te rendra pierre ; ainsi, "C'est bien Cela"
Pourras-tu prononcer, en toute latitude.
Clkimax69007, le dimanche 8 Septembre 2013.
Ceci est livré à votre critique affûtée.
Après tout,
sur un forum,
c'est différent de ce que l'on peut prétendre,
en fait de communication,
par un livre :
les réactions des lecteurs,
immédiates, et confiées,
peuvent servir à améliorer un texte
qui pèche par ce que vous lui trouverez de défauts.
Merci, par avance.
Déjà,
une heure un quart de corrections,
il faut ce temps pour que le texte soit présentable.
Si l'auteur n'est pas exigeant envers lui-même
et ne donne l'exemple des "repentirs",
qui le sera davantage ?