Il y aura du ciel au-dessus de nos têtes,
Et au cœur de nos fièvres une douceur fruitée,
Et au creux de tes lèvres une joie dépliée
Qui allonge tes yeux pour me faire la fête
De leur bleu d'outre-mer ne faisant pas retraite ;
Il y aura ta force en ton cou déployée
Avec ta hardiesse et ton courage délié
M'invitant à te mordre à jamais, à perpèt'
uité ; au velouté qui paraît au téton,
Hébété je suçote, et c'est ma communion ;
Ton nombril vaporeux me prendra de son сhагmе ;
Et tu seras tout flamme, élancé comme une arme,
Me ravissant, rouquin, au gré de tes sueurs,
D'une flambée de reins, dissipant ton odeur.
Climax69007, le Dimanche 17 Mars 2013, à 22h00