Indifférence... - Littérature & poésie

Tu peux hurler! Haïr! C'est mieux qu'indifférence.
Ton regard - s'il sourit - remplace tout discours.
M'offres-tu ton mutisme? Et j'appelle au secours!
Oh! combien ta tendresse aurait ma préférence.

Par ton égocentrisme, affectant l'ignorance,
Je ne sais vraiment plus obtenir un recours.
Ce n'est qu'en partageant que tu sens mon concours.
De grâce!fais effort contre l'intolérance...

As-tu l'élan du coeur car ton âme s'abstient?
J'ai donné mon amour... Tant pis s'il t'appartient!
Ton hostile visage instille en moi la fièvre.

Je saigne de ta main enfonçant le poignard!...
Il serait pourtant simple - un seul mot de la lèvre -
Pour que je sois guéri s'il n'est déjà trop tard!

Bravo pour l'effort des rimes !
Les paroles sont ргоfопԁеs et elles ont encore plus de mérites avec les rimes !
BRAVO BRAVO !

Je comprends ton point de vue.
Quand il y a indifférence, c'est un silence auquel tu ne peux mettre de mots car il n'y a pas de mots et cela te ronge.
Quand il y a haine, il y a paroles pour exprimer cette haine et tu as l'option de répliquer par des paroles pour changer le point de vue de celui qi est haineux.
Que dire quand cette haine provient de ton Autre, le seul dans l'univers qui te comprenne. Est-ce que cela a du sens d'affirmer que ton Autre te hait voire pire te soit indifférent ? Cette question me bouleverse de te savoir en détresse parce que ton Autre t'est indifférent ou haineux. La détresse de se retrouver seul dans l'univers à qui tu lances des appels mais te répond par un silence indifférent.
Je t'en prie, alter ego, sois à l'écoute de ton Autre. Je t'en prie, Autre sois à l'écoute de ton alter ego
Un si beau garçon, mon seul Autre, qui me lance des appels de détresse remplis d'amour, comment puis-je rester indifférent ou haineux et ne pas lui tendre la main pour l'etreindre et lui dire qu'il me plaît et que j'ai besoin de sa vie, de son corps, de ses liquides.
À bon entendeur, salut !

Merci d'avoir apprécié

En réponse au message de vie_en_poesie :

Bravo pour l'effort des rimes !
Les paroles sont ргоfопԁеs et elles ont encore plus de mérites avec les rimes !
BRAVO BRAVO !

C'est toute la philosophie des relations humaines. L'absence d'amour, le doute, la communication, qui, sans réponse vous plongent dans le désarroi, et la solitude.
Il ne faut donc pas laisser s'installer cette situation car y remédier serait sans doute trop tard!
C'est beau ton élan du coeur...
Le dialogue remet les pendules à la même heure. Alors que si l'une s'arrête... Que devient le temps?...

En réponse au message de vie_en_poesie :

Je comprends ton point de vue.
Quand il y a indifférence, c'est un silence auquel tu ne peux mettre de mots car il n'y a pas de mots et cela te ronge.
Quand il y a haine, il y a paroles pour exprimer cette haine et tu as l'option de répliquer par des paroles pour changer le point de vue de celui qi est haineux.
Que dire quand cette haine provient de ton Autre, le seul dans l'univers qui te comprenne. Est-ce que cela a du sens d'affirmer que ton Autre te hait voire pire te soit indifférent ? Cette question me bouleverse de te savoir en détresse parce que ton Autre t'est indifférent ou haineux. La détresse de se retrouver seul dans l'univers à qui tu lances des appels mais te répond par un silence indifférent.
Je t'en prie, alter ego, sois à l'écoute de ton Autre. Je t'en prie, Autre sois à l'écoute de ton alter ego
Un si beau garçon, mon seul Autre, qui me lance des appels de détresse remplis d'amour, comment puis-je rester indifférent ou haineux et ne pas lui tendre la main pour l'etreindre et lui dire qu'il me plaît et que j'ai besoin de sa vie, de son corps, de ses liquides.
À bon entendeur, salut !

Oui c'est peut-être un problème de calendrier ….
Le calendrier n'est que chose relative, une pure invention, et indexe les souvenirs, c'est-à-dire qu'il les enracine dans notre cerveau.
L'intemporalité est source de légèreté et de vivre l'instant présent ensemble.

Bisous.

Oui, et de partager le vivre ensemble permet de conserver la sensation de bien être ressentie et de créer ces racines qui font désirer vivre à nouveau ces intenses bonheurs ressentis et sans cesse renouvelés. On appelle ça l'amour je crois!...

En réponse au message de vie_en_poesie :

Oui c'est peut-être un problème de calendrier ….
Le calendrier n'est que chose relative, une pure invention, et indexe les souvenirs, c'est-à-dire qu'il les enracine dans notre cerveau.
L'intemporalité est source de légèreté et de vivre l'instant présent ensemble.

Bisous.