J'ai observé tes yeux bohémiens,
Passeurs de rivages et de ces contrées
Où cheminent l'ivresse et les vauriens,
Les noirceurs de la peau jamais contées,
Les rives étranges et les abois des сhіепs,
Les larmes amoureusement estompées,
Les saintes silhouettes et puis les riens,
Les graviers dans les chaussures plombées.
J'ai suivi les rives, admiré le ciel
Dіlаté aux pupilles armées de sel ;
Tu m'a donné soif et ce qui ravage,
Le goût de l'obscur travaillant le corps,
Le voyage au vertigineux rivage,
Le pied étant et dedans et dehors.
Climax69007, le Vendredi 18 Juillet 2014.