« J’ai tout aimé de toi », une petite découverte récente dont le thème du clip ravivera certainement des souvenirs à certains et les paroles parleront à tous je pense…
Pour ceux que ça intéresserait, Carmen Maria Vega est à la fois chanteuse et actrice. Perso, avant de tomber dessus sur Youtube, je n’en avais jamais entendu parler. Bien dommage d’ailleurs.
Alors que la chanson s’inscrit plutôt dans un style classique et lyrique, le clip côtoie l’univers urbain.
Le décalage peut en effet interpeler ou heurter… c’est selon chacun. Mais quand on écoute la chanson sans en voir les images, cela donne une autre dimension au texte.
Elle avait la taille fine comme un ruisseau que j'aimais remonter Un été sans fin se cachait dans ses mains et là sur ma peau il faisait beau Quand ses yeux mi-clos ont frôlé l'air de rien et mоп согрs et mon âme Tout ce que je savais de moi c'est enfui et c'est elle qui a tout pris
J'ai tout aimé de toi j'ai tout, tout aimé de toi Et je veux me souvenir encore, encore une fois De tes cuisses, de ton сul, de ton dos, ta pommette discrète Et la grâce tranquille du doux battement de tes cils
Il avait des épaules comme des déserts qui assoiffent et qui brûlent Ses mains sur mon ventre ont laissé en dedans un grand tгоu béant et сhаuԁ Je veux garder pour moi sa façon de dire “Viens” je veux garder encore Le souvenir si vivant si doux et si plein de son rire avec le mien
J'ai tout aimé de toi j'ai tout, tout aimé de toi Et je veux me souvenir encore, encore une fois De tes joues, de ta nuque, de tes bras Et l'émotion fragile d’un corps quand tu me touches L’ourlet délicat de ta Ьоuсhе
Tu te rêvais femme tu te disais maudit je te disais “Je t'aime” Tu étais beau, et tu étais belle aussi te l’ai-je dit, te l’ai-je dit ?
J'ai tout aimé de toi j'ai tout, tout aimé de toi Et je veux me souvenir encore, encore une fois J'ai tout aimé, j'ai tout aimé Et je veux me souvenir encore une fois J'ai tout aimé, j'ai tout aimé J'ai tout aimé, j'ai tout, tout aimé de toi J'ai tout aimé, j'ai tout aimé J'ai tout aimé, j'ai tout aimé J'ai tout aimé, j'ai tout aimé J'ai tout aimé, j'ai tout, tout aimé de toi (paroles copiées d’ici : Elle avait la taille fine comme un ruisseau que j'aimais remonter Un été sans fin se cachait dans ses mains et là sur ma peau il faisait beau Quand ses yeux mi-clos ont frôlé l'air de rien et mоп согрs et mon âme Tout ce que je savais de moi c'est enfui et c'est elle qui a tout pris
J'ai tout aimé de toi j'ai tout, tout aimé de toi Et je veux me souvenir encore, encore une fois De tes cuisses, de ton сul, de ton dos, ta pommette discrète Et la grâce tranquille du doux battement de tes cils
Il avait des épaules comme des déserts qui assoiffent et qui brûlent Ses mains sur mon ventre ont laissé en dedans un grand tгоu béant et сhаuԁ Je veux garder pour moi sa façon de dire “Viens” je veux garder encore Le souvenir si vivant si doux et si plein de son rire avec le mien
J'ai tout aimé de toi j'ai tout, tout aimé de toi Et je veux me souvenir encore, encore une fois De tes joues, de ta nuque, de tes bras Et l'émotion fragile d’un corps quand tu me touches L’ourlet délicat de ta Ьоuсhе
Tu te rêvais femme tu te disais maudit je te disais “Je t'aime” Tu étais beau, et tu étais belle aussi te l’ai-je dit, te l’ai-je dit ?
J'ai tout aimé de toi j'ai tout, tout aimé de toi Et je veux me souvenir encore, encore une fois J'ai tout aimé, j'ai tout aimé Et je veux me souvenir encore une fois J'ai tout aimé, j'ai tout aimé J'ai tout aimé, j'ai tout, tout aimé de toi J'ai tout aimé, j'ai tout aimé J'ai tout aimé, j'ai tout aimé J'ai tout aimé, j'ai tout aimé J'ai tout aimé, j'ai tout, tout aimé de toi Paroles copiées d’ici : https://www.paroles.net/carmen-maria-vega/paroles-j-ai-tout-aime-de-toi
L’histoire de Carmen Maria Vega est pour le moins atypique (et encore le mot est vraiment faible) :
Adoptée à l'âge de neuf mois, Carmen Maria Vega a décidé de partir à l'âge de 26 ans au Guatemala, son pays d'origine, à la recherche d'information sur sa mère biologique. "On nous avait dit qu'elle était activiste.
C'est un peu un mensonge rêvé, on grandissait un peu avec l'image d'une mère héros, et en fait j'ai découvert que le Guatemala avait été nécrosé par le trafic d'enfants, qu'il y avait eu plus de 8 000 vols et que j'en faisais partie. Et donc, je suis revenue avec ce cadeau un peu empoisonné auprès de ma famille adoptive qui elle n'était pas du tout au courant"