La recherche sur le style, s'il doit toujours me précipiter vers des modèles d'il y a quatre siècles (mais je peux en élire d'autres), serait néfaste, pourtant sans cela je risque de tomber dans l'invertébré, alors un mélange de cadres chois et de spontanéité devraient être mon garde-fou.
Parce que ce n'est pas un simple jeu avec les mots ; il y a là bien plus que des jeux de mots, ce n'est pas de la jonglerie (quoique, quelquefois, ça en prenne l'apparence), il y a le langage, notre racine humaine, que l'on peut négliger, ou choisir de cultiver.
Et, parfois, le choix n'est pas donné : il faut s'y mettre en entier, ou alors renoncer à être.
L'on voit, donc, que pour moi il ne s'agit pas d'inoffensives bluettes ; et je fais mes gammes, au risque d'ennuyer certains ici, ou de paraître pédant et ехhіЬіtіоппіstе.
Je fais, donc, avec ton avis, Imotep, qui me semble assez bienveillant, sans être dénué d'esprit critique : c'est ce dont j'ai besoin.
Ah, si j'écrivais comme Stendhal, je le saurais depuis longtemps, tiens !!!
Une phrase aussi légère, peu contournée, formée par l'amour des conteurs italiens, par ce raffinement du Sud, est un trésor, qui n'advient qu'une seule fois.