Jamais je ne pourrais oublier La femme qui m'a mit au monde, Celle a qui je pouvais confier, Tous les secrets même immonde
Ton sang coulait, coule et coulera A tout jamais dans mes veines, Ta voix apaisait, apaise et apaisera, A tout jamais toutes mes peines .
Jamais je ne pourrais accepter Que quiconque te fasse du mal, Car coeur de crème je suis doté, Je deviendrais alors brutal.
Parce-que je t'aimais, je t'aime et je t'aimerais Parce-qu'on ne peut regnier une mère, Parce-que jamais je ne laisserais, Quiconque prendre mon plus grand repère.
Improvisation du jour, un peu pourri mais je tenais à le partagez
draconis
Légende urbaine
26 avril 2013 à 14:59
J'aimerais pouvoir improviser de la sorte, très joli poème, à destination de la femme qui a le plus compté dans nos vies.
ajacksonmike
Membre élite
26 avril 2013 à 15:00
Merci, j'ai écris ça comme ci je n'avais plus ma mère mais je suis heureux que j'aye la chance de toujours l'avoir encore ;)
draconis
Légende urbaine
26 avril 2013 à 15:34
Merci, j'ai écris ça comme ci je n'avais plus ma mère mais je suis heureux que j'aye la chance de toujours l'avoir encore ;)
Et j'en suis heureux, la seule femme irremplaçable dans la vie d'un homme.
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