Sujet de discussion : Je me suis promené au creux de tes reins
sergeclimax69007
Membre suprême
9 novembre 2013 à 22:51
Je me suis promené au creux de tes reins Tout comme on flâne en une plaine idéale : Par ta juvénile ardeur, superbe et mâle, Ma baguette flaccide s'est faite d'airain,
Et tout comme un sourcier qui recherche au plein De la lune furtive, évasive et pâle, Le grand fracas de l'eau, la lueur aurогаlе, J'ai trouvé le pertuis, crocheté le sеіп
D'où s'effilait ton souffle - très longue secousse Par ma langue absorbée - qui, tel une pousse Enfonçant la racine au cœur du printemps,
Ranimait la fureur d'un âge éclatant ; Te visitant je suis tien, et me rallume A ton corps chaleureux, qu'à plein nez je hume.
Climax69007, le Samedi 9 Novembre 2013.
lessismore
Membre suprême
9 novembre 2013 à 23:18
C'est hauche ici!
draconis
Légende urbaine
9 novembre 2013 à 23:34
Et bien Climax tu restes dans les poèmes enflammés, un surplus d'hormones ?
sergeclimax69007
Membre suprême
10 novembre 2013 à 00:25
Je n'ai pas l'habileté de Georges Brassens, mais je n'ai pas, assurément, et sans conteste, la langue et l'esprit confits en christianisme de Paul Claudel.
De la Bible, je retiens - à la rigueur, et dans un sens très terrestre, sans lui attribuer une signification oblique et symbolique - le Cantique des Cantiques.
Et, oh que oui, je suis un être hormonal, comme tout un chacun.
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