Je mesure ton être, ce beau corps d'équilibre
- S'échappant d'un sourire tourné vers l'idéal -
Et de fossettes ombreuses, par mоп согрs tendre et libre
Comme est prise la forme d'un objet libéral
De ses biens et bontés ; formé, je deviens ivre
Et plie dessous ton poids en parfums de cédrat
S'élançant par ton sехe ; ton contour me délivre
De moi et me captive ; le duel ou l'ébat
Se dissout dans la seule et articulée ronde
Des рlаіsігs s'étreignant, des riens pour nous lier,
Des humeurs confondues, des surfaces épousées,
Des lumières emmêlées, de l'épanoui monde
Des jointures enlacées, de l'amour singulier,
De nos avant-premières substantielles poussées !