Très rares ceux qui réussissent dans l'impudeur, avec une force qui ne s'avilisse pas, avec des mots qui ne soient pas le langage des chansons de carabins tristement directes et sсаtоlogiques : je vois, à l'horizon de la littérature, Pierre Guyotat, et c'est tout. Déjà, le marquis de Sade, avec ses scénarios répétitifs, qui imaginairement réduisent les personnages de ses fапtаsmеs à des marionnettes tout foutre tout sехe, me lasse, m'ennuie ; et, quand bien même l'on accorde à cette irrépressible montée du rêve torturé et mettant au supplice une valeur libératrice, avouons que Sade est chiant à lire.
----- Si j'en crois les compteurs de consultation, lorsque mon titre ne flirte pas avec le "соԛuіп", je plafonne à quarante-cinquante ; ma conclusion est que je vais continuer selon mon humeur.
Mon plus haut score fut avec le titre "Les Ьіtеs d'amarrage enveloppées d'éсume" : là j'ai doublé les chiffres ; mais je n'ai pas toujours l'humeur réaliste, pour raconter des nuits d'errance au bord du Rhône, nuits déjà bien lointaines.