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Je t'aime à cœur-fendre, tiens le vide aux lacets - Littérature & poésie

Sujet de discussion : Je t'aime à cœur-fendre, tiens le vide aux lacets
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 2 mai 2015 à 18:47
    Je t'ai aimé, tendre, entre mes bras en lacets ;
    Je ressens ton souffle et la peine en ton haleine,
    Ils s'écoulent en moi comme le fleuve Seine ;
    Les efforts du noroît aux espaces enlacés

    Élancent un tourbillon comme tes yeux glacés ;
    Je viens flairer ton âme au grand vent qui s'assène
    Sur mоп согрs vigilant ; le temps est une arène
    De poussières égrenées, dérivent les placets

    Que, de places en places, ton esprit me délivre ;
    Tu demeures en moi et de toi je suis ivre ;
    Et je viens deviner ton sillage essentiel,

    Défier les orages, m'engouffrer en plein ciel,
    M'éployer au plus haut, me disperser de fièvre,
    Aspirer ton parfum et dessiner ta lèvre.


    Climax69007, le Samedi 2 Mai 2015.
  • yoomy Membre suprême
    yoomy
    • 2 mai 2015 à 19:00
    Très bel hommage à patachou climax. Je suis certain que d'en bas, elle te regarde avec affection et bienveillance. merci pour ce geste xx
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 2 mai 2015 à 19:08
    Il s'agit d'un texte d'amour et non d'idolâtrie.
  • yoomy Membre suprême
    yoomy
    • 2 mai 2015 à 19:09
    Elle appréciera sûrement ce poème x

    Elle était connue au portugel?!
  • tom-pillibi Membre pionnier
    tom-pillibi
    • 2 mai 2015 à 19:17
    J'applaudis votre talent Monsieur Climax
  • draconis Légende urbaine
    draconis
    • 2 mai 2015 à 19:19
    Suсе-boules !
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 2 mai 2015 à 21:57
    Révisons ce texte !



    Je t'aime à cœur-fendre et tiens le vide aux lacets
    Des bras dépossédés, ton souffle et ton haleine
    Cheminent en mon âme comme le fleuve Seine ;
    Les efforts du noroît aux espaces enlacés

    Suggèrent un tourbillon pareil aux yeux glacés ;
    Je ressens ton esprit dans le vent qui s'assène
    Sur mоп согрs découvert ; le temps est une arène
    Des poussières égrenées, déchirant les placets

    Des persistantes amours que la mort me délivre ;
    Tu demeures en moi et de toi je suis ivre ;
    Et je viens discerner ton sillage essentiel,

    Traverser les nuées, m'engouffrer en plein ciel,
    M'éclipser au plus haut, me disperser de fièvre,
    Respirer ton parfum et dessiner ta lèvre.


    Climax69007, le Samedi 2 Mai 2015.

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