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Killkenny, mes dammes à l 'honneur .... - Homosexualité

Sujet de discussion : Killkenny, mes dammes à l 'honneur ....
  • benoitdeprincy Membre élite
    benoitdeprincy
    • 13 juin 2019 à 21:29
    Cet après midi , je me faisais couper les cheveux , chez un coiffeur Pakistanais ...J'ai aimé , la contradiction , il me coupait les cheveux , tout en écoutant , en fond sonore , venant de son portable en haut parleur , un prèche …
    et sur un écran , Arté , passait ce reportage ,beau et intéressant https://www.arte.tv/fr/videos/089825-000-A/a-kilkenny-amours-interdites/
  • stiky Membre suprême
    stiky
    • 13 juin 2019 à 21:38
    Reportage très intéressant !
    J'ai bien aimé l'histoire de ces deux femmes et surtout Eleanor qui était une femme impressionnante de ne pas accepter l'étiquette de l'époque !
  • benoitdeprincy Membre élite
    benoitdeprincy
    • 13 juin 2019 à 21:43
    En réponse au message de stiky :

    Reportage très intéressant !
    J'ai bien aimé l'histoire de ces deux femmes et surtout Eleanor qui était une femme impressionnante de ne pas accepter l'étiquette de l'époque !

    bonsoir,
    en effet , reportage , tres sympa, je pense que je vais lire , le livre de Colette , qui prle de leur histoire ..le pur et l'impure
  • benoitdeprincy Membre élite
    benoitdeprincy
    • 13 juin 2019 à 21:48
    Juste un
    avis collecté sur le net :

    "Le roman s’ouvre sur sa plus belle scène. Colette nous fait рéпétгег avec elle dans une fumerie d’opium du Paris du début du siècle dernier. Avec élégance et un vocabulaire choisi, un rien précieux, elle nous décrit l’ambiance du lieu, avec ces volutes de fumée qui se lient aux poutres en bois nacré de Chine, avec cette clientèle engourdie et ces corps qui se délassent ensemble, parfois si fatigués qu’ils finissent simplement par s’endormir blottis l’un dans les courbes de l’autre. A cette occasion, Colette rencontre une femme, Charlotte, dont le corps émet quant à lui quelque feints gémissements en réponse à l’ardeur d’un аmапt jaloux. C’est la figure voilée de cette femme « fine, désabusée, savante en tromperie, en délicatesse » que Colette érigera comme le symbole « de ce livre qui tristement parlera du рlаіsіг ».
  • pegase49 Légende urbaine
    pegase49
    • 13 juin 2019 à 21:54
    Face aux conventions établies d'une société emprise aux carcans moraux, ces femmes, grâce a leurs pugnacités, ont réussi là où certaines échouent aujourd'hui:

    Leur amour!

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