Kol Nidrei - Musique & cinéma

Bonjour,

Jacqueline du Pré

violoncelliste de tout premier рlап partie trop jeune d'une leucémie

interprète l'émouvant "Kol Nidrei" de Max Bruch,

Adagio sur 2 Mélodies Hébraïques pour Violoncelle et Orchestre avec Harp, série de variations sur des mélodies hébraïques,

sous la direction de son mari Daniel Barenboim à la tête du Philharmonique d'Israel.

Beaucoup de sensibilité au service d'une oeuvre remarquable riche en émotion mélancolique et extatique.

Enjoy !

Jiminy, toi qui, chaque jour, a la délicatesse d'offrir aux membres du site une œuvre, choisie, et appréciée par toi, tu sais combien le manque d'exercice de l'oreille, qui empêche la familiarité, et une attitude plus réceptive, est dommageable : ainsi, malgré la beauté ргоfопԁе du violoncelle, n'ai-je pu être réellement présent que par moments ; c'est une pitié, parce que cette interprétation est une coopération de l'amour, ensuite parce qu'il y a dans la partition des accents du monde juif européen exterminé qui font mesurer la perte subie (et ce n'est pas rien, pour un compositeur, que d'intégrer des éléments traditionnels et que ce ne soit pas une resuсée folklorique), enfin parce que le violoncelle c'est vraiment presque une voix humaine.

Il me faut donc persister !

Merci.

Et j'utilise l'outil "Evernote" (que je rappelle ici au passage, car il fait lutter contre la dispersion de la pensée) pour "épingler" cette très belle œuvre de l'amour.

Je crée un dossier Jacqueline du Pré.

Salut à toi, O Climax,

Tu es sur la bonne voie.

Continue de ré-écouter,
tu vas finir par domestiquer ton oreille et la familiariser avec les tonalités de Bruch que tu vas apprécier de plus en plus.

Il en va ainsi de toute nouveauté.