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L'amour est une luciole argentée qui navigue - Littérature & poésie

Sujet de discussion : L'amour est une luciole argentée qui navigue
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 21 octobre 2014 à 18:08
    L'amour est une luciole argentée qui navigue
    Dans la plénitude étoilée de nos contours ;
    Et je ne saurais pas ce qui le plus m'intrigue :
    De ton sourire de blanche saumure aux pourtours

    De tes dents scintillantes qui me happent et mastiquent ;
    De la navigation de feu où tes yeux
    - Dans leur ravissement orgastique -
    Me sidèrent d'un сhагmе, m'épinglent de leurs jeux ;

    De cette poitrine ondulant par son poil savoureux ;
    D'une descente de reins abyssale et fatale
    Qui consacre en moi une créature féale ;
    Du sarment de vigne, vibrionnant, noueux ;

    Des poils follets parsemant tes jambes posées
    Comme un compas exact mesurant la terre ;
    De ces pieds posant à peine leurs envolées ?
    - Certainement ton regard ԁіlаté, mon аmапt, mon frère.
  • yggdrasil Membre élite
    yggdrasil
    • 22 octobre 2014 à 05:00
    C'est un рlаіsіг de voir réapparaître les poèmes de Climax !

    Une petite ode amoureuse ; elle est légère et frivole, comme on s'attendait qu'elle le fût...

    Toujours ce goût pour la subordonnée, mais quelques métaphores rêveuses donnent le change. Elle sont bien inspirées !
  • cactus_sss Membre suprême
    cactus_sss
    • 22 octobre 2014 à 07:18
    T'es trop sentimental Ygg' !
  • draconis Légende urbaine
    draconis
    • 22 octobre 2014 à 17:40
    mon аmапt, mon frère

  • draconis Légende urbaine
    draconis
    • 22 octobre 2014 à 19:23
    Comme j'aime la poésie...Je vais retoucher LEGEREMENT ton poème mon petit Clicli :)


    L’amour est comme une vérole qui fatigue
    Dans la largesse boursouflée de tes contours
    Imposant mais bien moins résistant qu’une digue
    Tu te jettes sur moi tel un immonde vautour.

    De tes dents toutes tombées tu me lapes et m’astiques
    De ton faciès niaiseux, ne sont beaux que tes yeux
    Dont le parallélisme est bien problématique
    Chacun regardant, et visant d’autres lieux.

    De ce torse bedonnant par trop gélatineux
    Ta mаssе proéminente approche le quintal
    Quand tu sautes sur moi pour me faire une fасіаlе
    Et que tu me balances ce truc par trop dégueu.

    Les immondes bourrelets de tes jambes gonflées
    Provoquent à chaque pas un tremblement de terre
    De ces pieds indécis zigzaguant dans l’allée
    Véhiculant un corps épaissi par la bière.
  • cactus_sss Membre suprême
    cactus_sss
    • 24 octobre 2014 à 17:10
    MDRRR !
  • draconis Légende urbaine
    draconis
    • 24 octobre 2014 à 17:54
    Merci Chris :) Tu penses que j'ai un ... avenir dans la poésie ?
  • cactus_sss Membre suprême
    cactus_sss
    • 25 octobre 2014 à 12:19
    C'est certain !

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