Merci Sébastien, c'est excellent!
Cela me rappelle un film espagnol des années 50: Muerte de un ciclista/Mort d'un cycliste, où un couple d'аmапts (dans une Espagne franquiste où les relations d'аԁultèге étaient le "péché") est à l'origine d'un accident.
Comme ici, la culpabilité les ronge, jusqu'à perdre pied avec la réalité.
C'est clair que plus on se sent coupable et plus on l'est.
C'est un peu beaucoup le tonneau des Danaïdes.
«Parmi les plus faibles, le plus fort est celui qui n’oublie pas sa faiblesse» – Proverbe suédois
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