L'or pailleté, l'argent parsemant tes cheveux
Ont des reflets de lune et de blé qui ondulent ;
Ton regard droit devant, déniant les aveux
Tresse un fil de métal, tranchante libellule ;
La toison рéпétгée des ferments liquoreux
Se prête à voyager par les vents qui stridulent ;
Le ventre à peine ombré au contour vaporeux
Élève une douceur, ô mon flexible arbuste ;
Et le sехe incurvé est sillonné du bleu
Des rêveurs océans, cependant que les cuisses
Veloutées par tes poils deviennent les rectrices
De mon adoration, de mon pétillant feu
M'inclinant vers tes pieds qui soutiennent une pointe
D'humanité virile, plénière et puis sans feinte.
- Bon le genre du blason
du corps (ici masculin)
n'est pas nouveau ;
qu'importe. Mais,
nécessairement,
le texte se ressent
de l'ancienneté
de ce genre poétique.
Allez, bonne lecture, Climax !