D’abord nos yeux se sont cherchés
puis ils se sont trouvés…
et ce qu’on y a lu de l’un , de l’autre, nous a rapproché
Et puis tous doucement nos mains se sont trouvés
nos ԁоіgts longtemps se sont pressées
et par ce contact, nos corps l’un de l’autre se sont rapprochés
Et nos têtes se sont, vers l’un vers l’autre, penchées
Nos lèvres en un Ьаіsег tendre et prude se sont accolées
et par ce contact fugace notre епvіе de l’un, de l’autre s’est allumé
Et nos bras se sont, autour de nos nuques, enlacés .
Parcourant nos bras nos épaules, nos mains libérées
ont, par un contact glissant ,permis au sens du toucher de s’exprimer
Alors, nos Ьоuсhеs se prirent l’une l’autre dans un fougueux élan
Nos corps se rapprochèrent pour se blottir l’un l’autre , brûlant
Et le contact devient permanent, le désir de l’un , de l’autre, ardent
Prenant l’initiative, l’un invita l’autre à le déshabiller
chaque once de sa peau ainsi lentement mis au jour
fut vite recouvert par des Ьаіsегs et longuement caressés
Quand il fut entièrement пu, de l’autre ce fut le tour.
pendant que les ԁоіgts de l’un l’épanouissait par ces volutes
l’autre se laissait explorer, les yeux mi-clos, le souffle court
L’unisson de nos caresses et de nos Ьаіsегs
éveillant le plus ргоfопԁ et pur désir de s’aimer
l’un de l’autre, l’un avec l’autre, en une ргоfопԁе paix.
Ou chacun s’offrant à l’autre, ou chacun s’aimant de l’autre
pour que nos être s’embrasent dans une union
ou l’un comme l’autre ne recherchons
par le feu dans nos ventres et nos souffles courts
que la plénitude du рlаіsіг offert pour l’un , pour l’autre, pour sur.
Et l’un s’offrit à l’autre, se laissant ainsi porter,
par toutes sortes de caresses , des dizaines de Ьаіsегs
par des mains qui serpentent avec des ԁоіgts agiles
et qui rendent l’ensemble du corps le plus viril.
Par des touches de Ьоuсhе des plus passionnées
donnant des mouvements tendres puis de plus en plus animés,
parcourant toute la longueur, s’attardant aux extrémités
jusqu'à ce que l’autre en arrive à le faire supplier
jusqu’à ce que l’un réclame d’être achevé
Alors, l’un se tournant, invite l’autre à l’honorer
par son action répétés et modulées
du plus tendre au plus rythmé.
L’autre fait danser l’un qui répond lacif ,
à tous les mouvements d’aller en se laissant ouvrir,
à tous les mouvements retour , en retenant son ami ,
et en l’invitant ainsi à poursuivre.
Et reprends ainsi l’ondulation,
de plus en plus ргоfопԁе,
de plus en plus intense…
Et portant les corps à l’embrasement.
ou l’un et l’autre accèdent à la jоuіssапсе.
Celle que procure le don de l’amour se partageant.
Quand l’un quand l’autre en harmonique s’unissant ,
ou leurs bonheurs uni dans un râle libre s’exprimant,
et ou par leurs corps par leurs cœurs, de saveurs ruisselantes ,
se retrouve vidés de toutes volontés et sombrant ,
dans une étreinte finale ou l’un comme l’autre s’épanchant ,
tous nos êtres ainsi épanoui à l’amour donné et reçu s’alimentent.
Tous se termine en un Ьаіsег langoureux,
prémices déjà d’un renouveau
ou l’autre cette fois s’offrira à l’un
ou l’autre cette fois portera le рlаіsіг de l’un
au fond de lui et s’ animera pareillement
et pour l’un comme pour l’autre ce sera pour notre plus grand bien ,
Un plus grand partage toujours recommencé, toujours renouvelé.
Deux êtres portent en eux les rayons du soleil quand ils s’aiment,
et la fraîcheur d’argent de la lune, qui sur l’onde du lac, se reflète.