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La Dame Brune : L'Amour qui s'approche - Musique & cinéma

Sujet de discussion : La Dame Brune : L'Amour qui s'approche
  • climax007 Membre élite
    climax007
    • 7 décembre 2017 à 23:57
    Chanson écrite par Georges Moustaki pour Barbara !

    Vous pourrez écouter,
    écouter de nouveau,
    à l'infini écouter !
    Il n'y aura pas la lassitude pour vous tromper :
    il y aura seulement votre cœur présent,
    et un bercement sur l'air d'"Au clair de la lune".

    Voilà, il y aura des yeux qui scintillent
    sous le сhагmе de la beauté ; et il vous vaincra
    le goût, le bon goût de vous laisser déployer.


    Vous connaissez, pour sûr ?
    Parfait, découvrez de nouveau ;
    la beauté (la bonté allant de pair)
    ne vous portera pas sur les nerfs,
    d'elle vous ne serez jamais déçu.e !

  • mur92n Membre confirmé
    mur92n
    • 8 décembre 2017 à 09:30
    Merci climax barbara moustaki, brassens brel mes idoles .... ferré aussi bien sur j'allais oublier .....
  • textoo Légende urbaine
    textoo
    • 8 décembre 2017 à 10:53
    Deux voix inoubliables ...

    7983.gif
  • pifou Membre suprême
    pifou
    • 8 décembre 2017 à 19:13
    Bonjour mon ami poète, je connais cette chanson par sheller elle est magnifique et je te l'offre de très bon cœur
  • climax007 Membre élite
    climax007
    • 8 décembre 2017 à 19:52
    Merci Pifou !!!!


    La voix de Barbara me fait pleurer ; la charge émotive est trop lourde ; un fado me rend moins sensible, à vif aussitôt ; Barbara me saisit toujours ; le voix belle, virile de Moustaki, est là, mais sous la grande marée de Barbara, il est comme du sable que recouvre une vague, comme un Jason possédée par une Médée...


    J'observe une seul trait : à cette époque, les petites voix épuisées n'avaient pas cours. Est-ce l'effet d'avoir chanté dans des salles sans sonorisation, où la voix devait porter sans micro, alors que maintenant le maigre filet de voix passe pour de la distinction (et c'est une impuissance) ???
  • nathanael123 Membre élite
    nathanael123
    • 8 décembre 2017 à 20:07
    Merci clicli j'ai eu une grande période Barbara 24.gif je me rappel qu'une fois pendant le trajet Anvers-Montpellier j'ai mis que des cd de barbara mon ex était limite déprimé en arrivant à la maison il pleuvait en plus entre Lyon et Montpellier.

  • rykkos Membre élite
    rykkos
    • 8 décembre 2017 à 21:41
    J adore Barbara
  • climax007 Membre élite
    climax007
    • 9 décembre 2017 à 15:05
    Mon doux casquetteux [qu'on en infère pas que j'ai des relations іпtіmеs avec Nathanaël ; qu'on en conclue simplement qu'il est un de mes battements de cœur, hélas à distance]; cher Ntah,

    Ton amoureux avait donc bien des regrets à greffer sur les nostalgies de Barbara ! Car, avouons, la voie de Barbara vibre et atteint ргоfопԁément, pour autant elle n'est pas la muse du déprimant, elle est la chanteuse des émotions retenues, voilà en quoi elle se distingue.

    Oui, la chanteuse des émotions retenues !
    Et si je pleure en écoutant Barbara, je ne me retrouve pas aux cinquantièmes dessous de la mélancolie !

    Barbara prouve, simplement, combien nous vivons à la superficie de nous-mêmes, et combien elle est utile pour que des sensibilités se risquent à se regarder en face, dans les méandres des ргоfопԁеurs, là où le visage se reflète avec des larmes ravalées à toute force.

    Et, je sors indemne mais pas indifférent de l'écoute de Barbara !!!

    Bisous, Nathanaël !
    Beau gosse, va !
  • climax007 Membre élite
    climax007
    • 9 décembre 2017 à 15:11
    En réponse au message de rykkos :

    J adore Barbara

    Je comprends ce que tu veux dire, mais ton mot "adorer" me fait penser combien cette dame noire qui chantait à merveille, et elle n'était pas dite une artiste populaire ne cultivait et ne faisait cultiver aucun culte d'elle-même.

    Pas plus que Ferrat, ou Brassens, ou Brel, suivez lon regard vers certaine imposture d’État toute récente à propos du "goût populaire" que l'on place bien bas, au niveau de la seule puissance de la voix !

    Barbara était l'élégance des émotion, tenez comme Joan Baez ; et elle avait une morale, elle, chanter et ne pas être une divinité du chaubize (je francise).

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