LA LUEUR DES ETOILES...
Sonnet
Eclats d'un pointillisme en un ciel clair obscur?...
Lumineuses d'argent le soir en sa voussure?...
D'un pinceau d'aquarelle advint l'éclaboussure,
Que par pudeur esquive un voile sur l'azur
Quand le soleil s'éveille en l'aube rose... Au fur
Et à mesure qu'aux coins des commissures
Renaît l'ardent sourire, elles s'en aperçurent,
Furtives pour céder la place au jour futur...
Lorsque valse la terre, amoureuse éperdue,
La lune est son miroir et donc pas confondue
Avec lui. L'éclipser?... On ne peut l'entraver
Dans un bref avatar : ce serait un désastre...
Ce n'est donc qu'en le noir qu'elles croient le braver,
Nul ne peut supplanter l'attrait d'un si bel astre !
CONCLUSION
La terre?... L'aime lui
Ce bel astre qui luit...