La page est exutoire
Pour perdre tout ce qu’on garde pour nous
C’est ce convaincre ou faire semblant d’oublié
Que cette douleur n’est qu’un arbre enraciné
Dans les méandres de notre esprit frustrés
Comme une prison pour nos confessions
Toujours le même dessin
Et ce recueil est bon à brulé
Seul chose à faire me taire
Oublier tout ça et accepter
Comme un grand besoin de parler mais rien n’est clair
Le cœur bat pour une page blanche
Un vide, un néant, d’un esprit épuisé
Accepter la frustration car du manque ou de la sоumіssіоп
On veut s’en délivré
La vie c’est une chanson dont on oublie l’air
Ou le noir se perd et le cœur se noie
En quelques mots griffonnés courent sur cette page blanche
Une énergie gaspillée pour une peine perdue
Donc arrête de pleurer sur un passé
Puisque les mots que tu essaie de relire
Sur cette feuille humidifiée s’estompe
Mais pas la douleur que tu voudrais pourtant quitter.