Séléné la ronde irradiait le firmament Déjà Morphée avait resserré son étreinte Erato, Euterpe m'invitaient ardemment à composer cette mélodie sans contrainte
Envoûtant, le songe me conduit jusqu'à toi musicienne aux mains d'or, poétesse immortelle Tu devins ma reine, n'étais plus demoiselle Chevauchée fantastique, tu me fis roi.
Lefablio
zinneke
Membre élite
28 avril 2013 à 11:44
Le songe d'un soir de printemps, bercé par quelques figures de la mythologie. Il ne manquerait plus que Cupidon vienne décocher sa flèche.
lefablio
Membre élite
28 avril 2013 à 12:19
Le songe d'un soir de printemps, bercé par quelques figures de la mythologie. Il ne manquerait plus que Cupidon vienne décocher sa flèche.
Merci Zinneke, doublement touché un par ton commentaire, deux par la flêche de Cupidon, et oui il l'a fait...
zinneke
Membre élite
28 avril 2013 à 14:51
Tu m'en vois ravi, il faut toujours faire confiance à Cupidon, je n'arrête pas de le répéter.
lefablio
Membre élite
28 avril 2013 à 15:14
Tu m'en vois ravi, il faut toujours faire confiance à Cupidon, je n'arrête pas de le répéter.
Disons plutôt que la flamme se ranime....
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